Noël De POUKN rompt le silence et répond au journal togolais ‘’FLAMBEAU DES DEMOCRATES’’. Le journal, dans une série de publications ciblait l’ex-Chef Service Matériel à la D.G.I sur des sujets aussi divers que touchant la vie privée. Dans sa parution N° 449, le journal a dû rétablir la vérité par le droit de réponse de l’homme accablé à tord.

NOEL DE POUKN
NOEL DE POUKN

DROIT DE REPONSE DE NOEL DE POUKN AU JOURNAL FLAMBEAU DES DEMOCRATES

Monsieur le Directeur de Publication,
Suite à vos parutions  N° 439 du 25 Février 2016 dans laquelle vous titrez « Noël De Poukn au crépuscule de sa gloire : Fin de course d’un apprenti politicien » et N° 445 du 07 Avril 2016 où vous publiez un article intitulé « Un comédien politique : Noël De Poukn ou la face cachée d’un imposteur »,ma personne est la cible d’attaques gratuites dans un cocktail d’acharnement, de délation et d’accusation sans preuve, au regard de l’article 46 du code de la presse et de la communication de la République Togolaise, je me sens dans l’obligation, de vous envoyer ce droit de réponse en vue de rétablir la vérité que vous n’avez pas cherchée à connaître avant publication de vos articles.

Votre Parution N° 445 du 07 Avril 2016
Beaucoup d’inexactitudes à la lecture desquelles je ne peux me taire, jonchent vos articles me concernant.
En effet, vous affirmez que : « … l’histoire remonte en 2008. Débarqué à Lomé à zéro tenant en main un sac « bafana », avec la bénédiction de son défunt frère, Raoul De Poukn, qui l’a accueilli à bras ouverts…», à ce propos, je voudrais d’abord vous dire que j’ai connu Lomé dès le bas âge,  j’ai fréquenté le lycée de Tokoin où j’obtins mon BAC II en 2000. Mes camarades d’amphi à l’université du Bénin aujourd’hui UL peuvent mieux vous renseigner sur ma personne. En 2008, j’ai soutenu mon Master II en Management des Entreprises à Lomé, les archives des différentes écoles vous édifieront.
Ce que vous devriez savoir de ma personne également et que vous ignorez, c’est que je suis fils d’un fonctionnaire, ancien député à l’Assemblée Nationale, ancien Directeur régional de la production forestière et propriétaire de plusieurs hectares de plantations dont les Tecks, Il est donc étonnant que vous ne vous soyez pas renseigné à fond sur mon origine avant de raconter pareilles histoires sur moi.

Là où vous poussez la contradiction loin, c’est quand vous insinuez que j’ai débarqué à Lomé en 2008 alors que mon grand frère Raoul est décédé justement la même année. Est-ce alors son fantôme qui m’a accueilli et m’a aidé à m’épanouir ? Question à laquelle vous ne pourrez jamais répondre parce que vous avez choisi la voie de la désinformation en lieu et place de la noble mission d’informer que la loi vous confère.

Evoquant Dame Afiwavi, mère de la fille de mon grand frère Raoul, vous aviez déclaré là aussi que «…un beau matin, la belle famille de Madame De Poukn, conduite… par Noël, a expulsé la femme et son bébé qui n’avait que quelques mois à l’époque ». Il me semble important de souligner ici que Dame Afiwavi a souhaité voyager avec mon frère qui le lui a refusé.Chose surprenante, au cours du voyage et jusqu’à la sortie de WAHALA, mon frère reçut plusieurs appels de dame Afiwavi pour des inutilités juste pour l’emmerder. Au cours du trajet, mon frère informait ses sœurs qui voyageaient avec lui, d’un énième appel entrant de Dame Afiwavi quand, aussitôt  survint l’accident.
Mécontent, par ces agissements et appels intempestifs : origine de l’accident, ajoutés  à la vie qu’elle menait avec des compagnies douteuses pendant son séjour à l’hôpital, mon frère fut contraint de demander à dame Afiwavi de regagner ses parents en attendant qu’il soit libéré de l’hôpital et revoit son cas.

Face à son refus, le frère a donc demandé à certaines personnes de l’évacuer momentanément.
Voilà les circonstances dans lesquelles Dame Afiwavi fut accompagnée chez ses parents aux bons soins de la famille et ceci en mon absence, car ce jour, j’étais en mission à l’intérieur du pays dans le cadre de l’exercice de mes fonctions de Chef Service Matériel à la D.G.I de 2006 à 2014.Donc, je n’ai pris part ni de près, ni de loin à cette opération.

Il apparaît clairement que Dame Afiwavi a été évacuée de la maison pendant que mon frère Raoul était à l’hôpital et conformément à son désidérata, non qu’après qu’il ait rendu l’âme.
Prenant toujours partie pour la dame et foulant au pied les notions élémentaires d’équilibre recommandées par votre profession,  vous affirmez dans l’article que : «  l’ancien employé de la Direction Générale des impôts aurait commencé à faire voir de toutes les couleurs à la femme de son défunt frère en jouant souvent sur la fibre ethnique » malheureusement, ma propre épouse n’est ni de même région que moi, moins encore de mon ethnie.

Outre cette précision de taille qui permet d’éclairer votre lanterne sur ces aspects, je voudrais également vous informer que ma nièce Laré De Poukn Fierté, la fille de mon grand frère n’était pas un bébé de quelques mois mais avait 5ans puisqu’elle est née le 04 Octobre 2003.
En plus de cela, sachez que la succession de mon frère a été bien réglée suivant la procédure de conciliation devant la juridiction compétente et qu’aussi bien la veuve que ma nièce sont en jouissance totale de leurs droits. Cependant, en ma qualité d’administrateur, j’assume bel et bien mes responsabilités dans ce sens.

Comme part successorale,

  • Dame AFIWAVI a eu droit le 07 Novembre 2008 à :

– Une voiture RAV4 7254 AF dont la carte grise est au nom de mon frère. Elle serait     même usagère de cette voiture en ce moment.
– un terrain bâti sis dans un quartier prisé de la ville de Lomé dont elle a même donné reconnaissance et décharge en date du 20 Janvier 2014.
– Une importante somme d’argent versée au greffier en charge du dossier en sus de certains frais réclamés par son conseil. Cette décharge en date du 07 Novembre 2009 peut être consultée au greffe du Tribunal à Lomé.

– Une prise en charge de son loyer et une pension alimentaire jusqu’à la liquidation de la succession.
– Des biens mobiliers et matériels. Etc.…

  • Ma nièce a eu droit le 07 Novembre 2008 à :
    – La maison de son père,
    – Une maison en chantier juxtaposée à la précédente,
    – Une autre maison aussi inachevée,
    – Une alimentation de son compte Epargne IDH sous le N° 0400070000000684CA par mes soins,
    – Un autre compte Epargne ouvert à mon initiative et régulièrement approvisionné par mes soins dans les livres de la Banque Populaire d’Epargne et de Crédit sous le numéro 15100670001.
    – Une somme de Cinq Cent Mille (500.000 FCFA) est versée à sa mère via son conseil à chaque rentrée scolaire et ce depuis 2008 ; en sus d’autres sommes qui sont versées à l’occasion de son anniversaire et des fêtes de fin d’année.

Des démarches judiciaires qui n’auraient pas abouties
«… il nous est revenu que la veuve De Poukn a porté plainte à la justice pour violation de ses droits… à chaque fois que la dame se battait pour que justice lui soit rendue, une main noire bloquait le dossier», affirmiez- vous sans la moindre preuve.  Je voudrais à ce sujet porter à votre connaissance que le dossier a bel et bien abouti. En effet, Dame Afiwavi et son conseil ont eu accès au dossier et au jugement mais ils ont été déboutés. Et donc, s’il existait une « main noire », c’est celle qui est derrière vous et vous l’utilisez servilement pour me noircir.

Dans la poursuite de votre argumentaire pour penser jeter de l’opprobre sur ma personne, vous déclarez que : « c’est ainsi que Noel de Poukn s’est accaparé de tous les biens mobiliers et immobiliers de son défunt frère. Des biens qui revenaient de droit à la veuve et à la fille de Raoul De Poukn ». A moins que vous ne soyez togolais, la majorité de tes togolais connaissent mon engagement aux côtés des veuves, des orphelins, des démunis, des déshérités etc. auxquels je viens de façon permanente en assistance. La plupart des orphelinats de la capitale togolaise et ceux de l’intérieur du pays ont déjà bénéficié de mes actions et ce n’est pas à ma propre nièce, l’enfant de mon grand frère direct que cette assistance va faire défaut.

Ce qui est surprenant dans votre démarche qui s’inscrit carrément aux antipodes des prescriptions de votre code de déontologie notamment en son article 1 relatif à la responsabilité du journaliste, non seulement aucun des acteurs clés du feuilleton sorti de votre masturbation intellectuelle n’a été contacté par vous, pire encore ma modeste personne que vous vilipendez à longueur de colonnes n’a pas été approchée.

Votre parution N° 439 du 25 Février 2016
Lorsque je me réfère à cette parution dans laquelle  vous titrez « Noël De Poukn au crépuscule de sa gloire : Fin de course d’un apprenti politicien » où vous avez également imaginé une histoire de prétendues brouilles entre Mme AWADE Ingrid et moi, vous avez été rappelé à l’ordre par l’ancienne Directrice Générale des Impôts, vous signifiant qu’elle n’avait aucun problème avec moi et qu’il fallait cesser d’inventer des histoires qui ne tiennent pas debout. Mais cela ne vous a rien dit, et vous venez de récidiver.

NOËL DE POUKN a vendu plusieurs voitures PRADO à DAPAONG lors de Tingban-Paab parce qu’il est en manque d’argent insinuez- vous. Mais vous oubliez que les voitures se vendent plus et mieux à LOME qu’à DAPAONG.
Aujourd’hui encore, vous écrivez un article imaginaire, puisque vous-même racontiez que ni l’avocat, ni la dame de mon frère n’ont été contactés, de même que ma modeste personne or, l’article 3 de votre code de déontologie est clair, à moins que ce ne soit un acharnement contre ma personne, je tombe des nus que vous trainiez votre profession dans la boue en vous refusant tout effort de professionnalisme.

Pour finir, je voudrais que vous sachiez que ni vos chantages, ni vos calomnies encore moins vos mensonges, ne faibliront ma loyauté à Mme Ingrid AWADE d’une part, et ne me détourneront de l’amour que j’ai pour ma famille d’autre part.
Confiant que vous vous inspirerez de l’article 47 du code de la presse dans le traitement de ce droit de réponse  pour rétablir la vérité, recevez mes salutations.

Lomé, le 19 Avril 2016

Noël DE POUKN

Ampliations :
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