La deuxième édition du Salon Africain du Bâtiment (AFRIBAT) a démarré mardi à Lomé. La chambre de commerce et d’industrie de Sfax (Tunisie) et la celle du Togo (CCIT) relève ainsi le pari d’une coopération sud-sud. Durant six jours, le CETEF-Lomé offre son cadre à ce salon d’échanges sur les techniques modernes de construction.
Pour le Togo, c’est une nouvelle occasion de drainer des opérateurs économiques de divers horizons. A ce solon d’AFRIBAT de Lomé, sont présents, des opérateurs du Niger, du Burkina Faso, de la Tunise ; mais aussi d’Europe et des Etats-Unis.
La cérémonie inaugurale a été présidée par le ministre togolais du commerce, Kodjo Adédzé. Il s’est félicité de la réussite de cet événement. Il reflète « la volonté du gouvernement de doter le pays d’infrastructures et services de qualité », a-t-il souligné.
Faire des villes africaines, des coins de bien-être
Coorganisatrice de ce salon AFRIBAT, la chambre de commerce et d’Industrie du Togo espère qu’enfin les villes africaines répondent aux nouveaux enjeux de développement. Germain Meba, président de la CCIT, a invité les participants à faire de ce salon une opportunité pour « faire des villes africaines, des cadres de vie modernes, conformes aux normes internationales ».
A noter que la visite du site du CETEF où se déroule le salon est libre et gratuit. De quoi encourager les populations à s’y rendre afin de rencontrer les professionnels du bâtiment.
Ben Souleyman