Le ministre Togolais des Droits de l'Homme, Christian Trimua. Photo Republicoftogo

Le Togo fait de petits progrès mais significatifs dans le respect des Droits de l’Homme. Pour s’améliorer, le pays danse dans la cour des bons élèves. Il s’est aligné derrière quatre instruments internationaux de promotion des Droits de l’Homme.

Parmi ces instruments, la convention de l’Unesco qui concerne la lutte contre la discrimination dans le domaine de l’enseignement en 2012. Le pays a pris d’ailleurs le pari d’une éducation pour tous. La gratuité du préscolaire et du primaire pour les filles est un signe fort du gouvernement.

Dans sa logique, le Togo a également ratifié la convention internationale pour la protection de toutes les personnes contre les disparitions forcées en 2014. Aussi, a-t-il présenté ses 18è et 19è rapports périodiques sur la convention internationale pour l’élimination de la discrimination raciale. C’était en 2015. L’égalité de chance pour tous, c’est un autre chantier pour le respect des Droits de l’Homme.

C’est pourquoi le pays a ratifié en 2016 le rapport initial sur la convention relative aux droits des personnes handicapées. Septembre de la même année, le gouvernement a finalisé le processus de ratification du deuxième protocole facultatif qui concerne le pacte international relatif aux droits civils et politiques et qui vise l’abolition de la peine de mort.

A noter que le Togo est aussi signataire de la charte africaine sur la démocratie, les élections et la gouvernance. Aujourd’hui, il est désigné vice-président du conseil des Droits de l’Homme de l’ONU. Une reconnaissance a tous ces efforts.