Le prêtre traditionnel ghanéen, Nana Kwaku Bonsam, révèle être la cause de la blessure au genou du joueur portugais Cristiano Ronaldo. Pour lui, cette blessure devrait empêcher le joueur de participer à la Coupe du Monde 2014 au Brésil.

Kwaku Bonsam a fait cette révélation dans une interview à la radio Angel Fm à Kumasi et a assuré qu’il travaille sérieusement sur la « blessure de Cristiano Ronaldo ».

La Fédération portugaise de football a fait savoir le mercredi 4 juin 2014 que Cristiano Ronaldo souffre d’un problème au genou gauche ainsi que de douleurs musculaire à la cuisse.

En levant le voile sur sa supposée pratique invisible, Kwaku Bonsam prétend faire son possible pour empêcher le joueur portugais de participer au mondial 2014 ou du moins qu’il soit indisponible le 26
juin 2014 à l’occasion du match Ghana-Portugal dans le groupe G au Brésil.

Et à propos de la potion magique concoctée, Kwaku Bonsam encore surnommé « Kofi ‘oo’ Kofi » a révélé avoir eu recours à quatre chiens, une sorte de préparation spirituelle pour rendre inapte le portugais.

Enfin, à propos des soins à administrer à Cristiano Ronaldo pour son rétablissement, Kwaku Bonsam défit la médecine moderne. En ce sens, il a assuré que le mal du joueur ne peut être diagnostiqué par un médecin car il peut être aujourd’hui localisé au genou, demain ce sera sa cuisse et le lendemain une autre partie de son corps.

Connu pour ses pratiques et ses défis au Ghana, Kwaku Bonsam est un ardent défenseur de la religion traditionnelle  et n’ose pas se taire sur les pratiques obscures de certains pasteurs qui tendent à abuser de leurs fidèles.

Dernièrement, il s’est substitué aux météorologues en prédisant de fortes périodes de pluies en 2014, lesquelles engendreront de «dangereux» dégâts. Des raisons de ces abondantes averses qui ont commencé dans le pays, Kwaku Bonsam a expliqué que les dieux et les rivières sont en colère et qu’il faut les apaiser !

Comme quoi, le foot et le mystère, c’est encore une histoire impénétrable !

De notre correspondant à Accra,

Rejoyce Amevor