Le projet pilote de volontariat des jeunes déscolarisés (JDS) est à sa fin, après quatre mois d’expérience. La Ministre Sidemeho TOMEGAH-DOGBE en charge du Développement à la Base, de l’Artisanat, de la jeunesse et de l’emploi des jeunes a effectué une visite de terrain ce samedi 14 Mai avec la délégation du ministre français, Jean-Marie Le Guen pour voir ces jeunes à l’œuvre le long de la clôture de l’Université de Lomé. Ils ont également visité le centre CASA à Adéticopé. Des actions qui visent à établir des relations de partenariat au profit des différents projets.

Jean Marie LEGUEN  (3è de la gauche) adirant à Lomé....
Jean-Marie LE GUEN (3è de la gauche) adirant à Lomé….
...les jeunes volontaires à l’œuvre
…les jeunes volontaires à l’œuvre

Visant à inculquer aux jeunes déscolarisés des valeurs citoyennes, à les amener à participer au développement du pays et à les accompagner pour une insertion professionnelle, le projet pilote de volontariat des jeunes déscolarisés vient de se terminer. Ils étaient 582 jeunes déscolarisés dont 368 femmes à être enrôlés dans cette phase pilote qui n’a couvert que Lomé la capitale. Ces jeunes après quatre mois de dur labeur ont pu bénéficier des formations en entrepreneuriat, sur la gestion du crédit, sur l’éducation et bien d’autres.

La ministre Dogbé, espère, avec cette visite du ministre d’Etat Français chargé des relations avec les parlements, Jean-Marie LE GUEN,  nouer un partenariat au profit du projet. Jean-Marie LEGUEN s’est félicité de l’attachement  du gouvernement togolais à sa jeunesse pour l’amélioration des conditions de vie. Il a aussi encouragé les bénéficiaires du projet pour le travail abattu.

Pour la Ministre DOGBE, cette phase pilote du volontariat des jeunes déscolarisés – qui n’a couvert que Lomé-, est une réussite dans tout son ensemble. Le projet devra être étendu aux autres villes du pays.

Avant de se rendre sur le site de travail des jeunes volontaires déscolarisés, la délégation française a visité avec ses côtés la Ministre DOGBE et sa collègue de l’Action Sociale, Tchabinandi KOLANI YENTCHARE, le Centre d’Aide Sociale Saint André (CASA). Un centre qui accueille les filles en situation de survie et leur offre des formations professionnelles en vue de leur insertion dans la vie sociale.