Le Festival international de l’histoire d’Aného (FIHA) s’ouvre mercredi 13 novembre. Lieu de rencontre entre la science et la culture, le FIHA 2024 accueille Lokossa du Bénin, ville invitée et Atakpamé comme ville associée. A travers conférences, spectacles, carnaval et arts culinaire, Aného s’apprête à communiquer son histoire une fois encore aux festivaliers attendus de partout.
C’est la Turquie qui est le pays invité du FIHA 2024. L’évènement à dimension internationale piloté par la Fondation Aquereburu & Partners, en collaboration avec la commune Lacs1 promet de briller de mille feux.
Du 13 au 18 novembre, Aného et ses habitants vont convier le monde aux découvertes, thème de l’édition 2024 du FIHA. Selon le comité d’organisation, il s’agit de « rompre les préjugés pour aller vers l’autre et le découvrir dans ses différences, dans sa richesse.»
A travers les différentes activités, le FIHA s’attachera à « montrer comment les découvertes orientent les représentations de l’homme.» Le but est d’améliorer les rapports sociaux, renforcer le vivre-ensemble entre les peuples et les communautés.
Brassage culturel, plateforme économique et artistique
Le FIHA, c’est aussi des conférences sur les modes de vie des peuples. Cette année, Aného ouvre ses bras à Lokossa, à Atakpamé et à toute la Turquie. Autour de ce noyau, universitaires, acteurs culturels d’ici et d’ailleurs font de la ville d’Aného la destination de l’harmonie entre les matières vivantes, comme ce symbole presque unique d’une ville où l’océan embrasse un lac.
Des groupes folkloriques guadeloupéen, ceux de Lokossa et d’Atakpamé ; des caravaniers de Samba du Brésil, Gohou de la Côte d’Ivoire, Santrinos du Togo… Aného réunit du beau monde pour des découvertes inédites qui, on l’espère, viendront renforcer une nouvelle fois les relations intercommunautaires ici et ailleurs.