La capitale ivoirienne accueille une rencontre sur la question de la migration de la main-d’œuvre africaine. Il s’agira au cours de cette assise de trouver les voies et moyens pour mettre en œuvre les politiques appropriées et des actions pratiques, dans une approche régionale. Pour la Commission de l’Union africaine (CUA) et l’Organisation Internationale du Travail (OIT) organisateurs de l’événement, il est important de relever les défis communs auxquels sont confrontés les travailleurs et travailleuses migrants.
Jusqu’au vendredi, partage de connaissances, passage en revue des lois en vigueur , confirmation de l’engagement des États membres et des CERs à respecter leur volonté de mettre en œuvre les instruments (conventions, politiques, protocoles) approuvés, identification des possibilités de coopération en matière de mobilité de la main-d’œuvre et de migration, ainsi que de protection des travailleurs migrants, meubleront les échanges.
Au terme de cette conférence, il est attendu un appel commun au renforcement du message d’engagement, d’action et de résultats, afin de transformer les histoires des migrations africaines en histoires de réussite, espère l’Organisation Internationale du Travail (OIT).
A ce rendez-vous, sont présents: le Cameroun, la Côte d’Ivoire, l’Éthiopie, le Ghana, le Kenya, le Malawi, le Maroc, le Nigeria, la Somalie, le Soudan du Sud, l’Ouganda, la Tunisie, l’Égypte, la Tanzanie et le Tchad.
Merveille Lawson