Les Foires internationales de Lomé se suivent mais ne se ressemblent en rien. D’année en années, le CETEF innove et anticipe sur les besoins des exposants et visiteurs. La 12è Foire Internationale de Lomé n’en est qu’une confirmation.

Johnson Kuéku-Banka, en pleine visite sur le site de la foire -Archive
Johnson Kuéku-Banka, en pleine visite sur le site de la foire -Archive

Plus de 1000 exposants venus de 25 pays. Tous, rassemblés sur une superficie de 17.000 km2…Comment le staff du CETEF arrive-t-il à contenir cette marée humaines et à répondre à toutes les attentes, et quelques fois au cas par cas ?

C’est une question d’organisation, de savoir diriger et surtout d’anticipation. Un exercice dans lequel les responsables du CETEF sont en passe de se faire « maître » s’ils ne l’ont déjà réussi !

Savoir répondre aux sollicitudes, dès qu’elles se présentent, la règle est d’or au Centre togolais des expositions et foire (CETEF), et encore plus dans le cadre de cette douzième foire internationale de Lomé.

Le chef d’orchestre, Kuéku-Banka Johnson, le Directeur du CETEF. Presque tous les jours, il faut le voir, l’homme passe de stand en stand ; discuter avec les exposants sur des éventuelles difficultés qu’ils pourraient rencontrer.

«  Je viens de faire le tour de la foire, et je vous dis que ça ressemble au deuxième dimanche…Il y a de la foule, tous les stands sont remplis, les exposants sont gais », confie le Directeur du CETEF à la suite d’un tour habituel de stands, le dimanche 22 novembre, deux jours après l’ouverture. «  Il y a encore de petits détails mais ils seront réglés très vite », a-t-il ajouté.

La foire internationale de Lomé ne vient de boucler qu’à peine quatre (4) jours d’activités, mais déjà le témoignage des exposants est encourageant. Dans les couloirs du comité d’organisation, l’on apprend qu’il est bien réservé de belles surprises. Comme le disent les Anglais, « wait & see ».

 

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