Le Comité Interparlementaire de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africain (UEMOA) tient sa 48ème session ordinaire à Lomé depuis ce 9 août 2021. Sur la table des parlementaires de l’Union, les questions sécuritaires, le point des activités pays mais aussi la Covid-19.
Le Togo accueille les parlementaires du CIP-UEMOA pour la 48ème session ordinaire de l’organisation. Un rendez-vous de bilan mais aussi de projection et de recommandations à l’endroit des chez d’Etat et de la commission de l’Uemoa.
Selon Goakun Rossan Noël TOE, Président du Comité Interparlementaire de l’UEMOA, la réunion de Lomé sera également consacrée aux directives émises par la conférence des Chefs d’Etats en vue de leur évaluation. Les députés du CIP-UEMOA discuteront aussi des activités 2022, du budget et procéderont à l’évaluation des activités réalisées par chaque pays.
Question préoccupante de l’heure, la réouverture des frontières au sein de l’Union. « Nous allons analyser en fonction pays pour voir les difficultés des différents pays et les populations. La véritable préoccupations qui existe, ce sont les frontières terrestres », a déclaré Monsieur TOE. Il se veut confiant, car « la maladie est plus ou moins maîtrisé dans l’Uemoa », ajoute-t-il en appelant à l’ouverture progressive des frontières, en tenant compte de l’évolution de la pandémie dans l’espace.
Les députés du CIP-UEMOA ont été accueillis par le quatrième vice-président du parlement togolais. Il a délivré aux parlementaires de l’Union le message de la Présidente du parlement togolais. Sur les questions sécuritaires et de la pandémie, Pacôme Pacôme Adjourouvi a déclaré : « ces différentes situations appellent des parlementaires que nous sommes à plus d’engagement et de suivi pour non seulement accélérer la transposition des normes communautaires de l’union au sein des Etats mais aussi d’assurer le suivi de leur mise en œuvre effective afin de pouvoir évaluer leurs impacts sur les conditions de vie de nos concitoyens. »
La rédaction
